Protocole préparatoire pour extermination des punaises de lit

Préparation préconisé par l’État et par Team Pest France , mais non imposé.

 

Préparation avant l’intervention

  • Videz les placards et tables de chevets des chambres infestés;
  • Mettez les textiles (vêtements, draps, couettes, coussins, rideaux,…) dans des sacs hermétiques, ou sacs poubelles fermés en attendant de pouvoir les laver à 60°;
  • Mettez les objets à moins de deux mètres du lit ou canapé (livres, boîtes,..) dans des sacs poubelles fermés en attendant de pouvoir les passer au congélateur durant 3 jours;
  • Laisser les matelas nus (sans draps, couettes…);
  • Avant ou après l’intervention, ou bien dans les semaines qui suivent, lavez les textiles qui sont isolés dans les sacs, en machine à 60° minimum avec un cycle d’une heure minimum;
  • Aspirez votre logement, afin d’éliminer le plus grand nombre d’oeufs. Vous pouvez aussi aspirer les matelas, sommiers, lattes de sommiers, tête de lit, plinthes… JETER LE SAC ASPIRATEUR APRÈS L’ASPIRATION OU LAVER LE BAC;
  • Rangez et désencombrez les pièces au maximum, puis décalez les meubles des murs d’environ 10 cm;
  • Si possible, démontez les sommiers, lattes, têtes de lits, canapés, plinthes…;
  • Ouvrez les bagages infestés de puces de lit dans la chambre infestée, afin que nous puissions leurs apporter un traitement nécessaire;
  • Retirez les détecteurs de fumée pendant la durée de l’intervention;
  • Fermez toutes les fenêtres avant l’intervention;


Questions fréquents

Combien de temps faut-il évacuer le logement?

Quittez votre logement dès l’arrivée de notre équipe, 5 heures minimum, conformément aux préconisations de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire. Durant l’intervention, aucune présence humaine ou animal possible.

Que faire des objets, livres ou le linge qui ne passent pas à 60°?

Vous pouvez les mettre dans un congélateur à -18° durant trois jours minimum.

Qu’est-il nécessaire de protéger?

Recouvrez et protégez les TV, ordinateurs, et matériels ou objets sensibles avec un sac-poubelle. Protégez les denrées alimentaires, produits consommables, et articles de soins (brosse à dents…). Sortez les plantes. Les aquariums doivent-être couverts et débranchés.

Où mettre les sacs de linge?

Stockez les sacs de linges dans un lieu non infesté (cuisine, salle de bain, baignoire…);

Les autres placards du logement doivent-ils être vidés?

Les 3 mètres autour des lieux de repos ( lit / canapé ) sont considérés comme potentiellement infestés, et sont donc concernés par ces préconisations. Pour le reste, cela dépendra de si vous y avez rangé quelque chose d’affecté (valise, veste ..?)

Dois-je utiliser des insecticides?

N’utilisez plus d’insecticides car ils sont incompatibles, et dispersent les punaises de lit. Le cas échéant, retirez la terre de diatomée mise en place.

 

 

Protocole préparatoire pour extermination des blattes

Les blattes vous étant “apportées”, la première des choses à faire est de surveiller les arrivages. Les livraisons des fournisseurs sont souvent la cause d’une première infestation : veillez à systématiquement décartonner les marchandises et jeter les cartons dans lesquels se trouvent peut-être des blattes ou bien des œufs. Si vous êtes un établissement avec des locaux sociaux, vérifiez régulièrement les vestiaires, en faisant vider et nettoyer les casiers du personnel, qui peuvent aussi être une source d’infestation sans le savoir. Les blattes sont omnivores, avec une prédilection pour des débris de matières animales ou végétales ; il est donc important de les priver de leur source d’alimentation en nettoyant régulièrement et méthodiquement, notamment dans les cuisines les pianos et plaques de cuisson : les résidus gras et huileux sont leur nourriture préférée! De même, vous pouvez restreindre leur zone d’habitat en rebouchant toute crevasse et fissure dans lesquelles elles ont tendance à s’installer. Enfin, afin de les détecter au plus tôt, vous pouvez disposer des détecteurs spécifiques, munis d’une phéromone et d’une plaque de glu, qui permettent de mettre en évidence une éventuelle présence. La prolifération des blattes est d’autant plus rapide que la chaleur augmente. Dès que vous en détectez la présence, il faut traiter rapidement. Le traitement le plus adapté aujourd’hui est le traitement par gel, mais on peut aussi utiliser la pulvérisation voire la nébulisation.

Méthode 1 : Traitement par gels appétents

Principe : On dispose quelques gouttes d’un gel appétent anti-blattes à proximité immédiate des “nids” ou des lieux de passages des blattes. Il existe deux types de gel : l’un très appétent permet d’attirer rapidement un maxime de blattes, l’autre plus rémanent permet de traiter sur la durée. En l’ingérant, les blattes synthétisent une molécule qui bloque leur système nerveux et les tue.

Durée : Si le gel est bien disposé, les résultats sont visibles en quelques jours. Il convient néanmoins de faire plusieurs interventions, en fonction du niveau d’infestation.

Avantages : Précis et méthodique, ce principe permet un traitement efficace limitant les dangers pour les individus et l’environnement.
Inconvénients : les gels de qualité sont relativement coûteux ; surtout, ce type de traitement nécessite de la méthode et de la persévérance pour débusquer tous les “nids”.

Méthode 2 : Traitement par pulvérisation

Principe : Utilisé avant l’apparition des gels appétents, ce traitement consiste à diffuser un insecticide sur les surfaces et les zones infestées, en espérant atteindre les blattes.

Durée : Son action est rapide quand il atteint les cibles, mais l’absence d’appétence ne permet d’attirer les blattes qui n’auraient pas été en contact direct.

Avantages : Il peut être utilisé pour “dégrossir” une infestation massive et très visible, son action est rapide et économique.
Inconvénients : peu précis, ce traitement diffuse une quantité importante d’insecticide, sans garantir d’atteindre les cibles systématiquement.

Méthode 3 : Traitement par nébulisation

Principe : Diffusion d’un insecticide sous forme de micro-gouttelettes ; ce traitement dit “actif” permet d’atteindre des zones difficilement accessibles, au contraire de la pulvérisation qui reste en surface.

Durée : Action rapide et efficace, en fonction de l’insecticide utilisé ; elle sera complétée par une action au gel, plus précise.

Avantages : Lorsque l’infestation est très importante, ancienne, cachée, elle permet de réduire rapidement et significativement la population.
Inconvénients : Traitement coûteux, consommateur d’insecticides, nécessitant une préparation préalable, avec des conditions strictes de sécurité, et un nettoyage final important.

 

 

La dératisation selon Team Pest France


La dératisation, c’est quoi ?

Le terme dératisation correspond à la lutte menée contre les invasions de rongeurs en général. L’importance de cette lutte, particulièrement pertinente dans les espaces aménagés pour l’usage des personnes, a pour objectif de réduire les risques liés à la présence et à la promiscuité des rongeurs.

Une lutte contre quoi ?

La dératisation, à l’opposé de ce que laisse transparaitre le terme, ne s’applique pas uniquement aux rats. Sur un lieu de vie, de travail ou de stockage par exemple, elle consiste à combattre les rongeurs tels que :

* souris 

* rats 

* surmulots 

* mulots 


Les étapes de la dératisation

Contact
Envoyez nous une demande de devis et nous vous recontactons sous 24 heures
 
Inspection
Nous nous déplaçons vers le lieu à traiter, selon vos disponibilités pour établir un devis

Traitement
Nous appliquons un traitement adapté à votre milieu et à votre problème.

Suivi
Nous assurons le suivi tout le long du processus, du début à la fin de la prestation.
Pourquoi mener cette lutte ?

Il importe de réagir sans tarder dès lors que l’on constate une invasion par des rongeurs car les conséquences d’une telle situation peuvent s’avérer désastreuses 

 

Sur le plan matériel : les rongeurs sont à l’origine de dégradations importantes et affectionnent particulièrement les cloisons des maisons. Ils peuvent ainsi fragiliser progressivement certaines structures de soutien d’un bâtiment et faire courir ainsi des risques aux personnes qui y habitent. Leur quête de nourriture peut également les conduire à s’attaquer à des installations électriques, à des stocks de produits ou de marchandises ou à des aliments ; 

Sur le plan sanitaire : les rongeurs peuvent constituer des vecteurs de germes pathogènes susceptibles d’affecter l’humain. Diverses sortes de maladies et d’infections peuvent ainsi être transmises par leur contact ou encore par leurs morsures ; 

Sur le plan de la qualité de vie : la présence de rongeurs se manifeste bien souvent par des grattements et autres bruits provoqués par leurs déplacements. Outre cette gêne qui peut entraver la qualité du sommeil dans un lieu de vie, les déjections laissées par ces indésirables contribuent à salir et peuvent constituer une gêne olfactive.